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Historique

Ancien orphelinat « Saint-Vincent de Paul de Montaud » fondé en 1848, puis résidence Saint-Vincent de Paul depuis 1968, notre maison est gérée par l’association Notre Dame Du Foyer.

A l’origine, la Maison Saint-Vincent de Paul avait essentiellement pour but l’accueil des personnes, le plus souvent valides, souffrant surtout de solitude et d’inconfort.

Les conditions de vie, l’évolution de l’habitat et l’accroissement des soins à domicile ont amené les personnes âgées à différer le plus possible leur entrée dans une maison de retraite.

L’état de santé de nos résidants et une certaine dépendance due à l’âge avancé de la majorité d’entre eux ont nécessité une approche plus présente, plus médicalisée dans un environnement adapté.

D’autre part, pour répondre aux normes de sécurité en vigueur et améliorer le confort des résidants, l’établissement a été entièrement reconstruit : la première pierre a été posée en juin 1997 et la construction s’est achevée en octobre 1999.

L’établissement est devenu EHPAD en 2002 (Etablissement d’Hébergement pour Personnes Agées Dépendantes), en signant une convention tripartite avec les représentants de l'Etat et le Conseil général de la Loire.

Puis dans le cadre de  nos engagements qualité, nous avons signé la troisième convention tripartite en 2013 et a ouvert un PASA (Pôle d'Activités et de Soins Adaptés) de 14 places. 

Valeurs

Le caractère privé associatif à but non lucratif suppose que les administrateurs, salariés et bénévoles partagent un certain nombre de valeurs, à commencer par l’attachement à l’esprit associatif qui s’imprègne de notions de liberté, d’initiative et de responsabilités.

L’héritage fondateur chrétien de l’Association Notre Dame du Foyer se traduit aujourd’hui par une qualité d’ambiance et d’accueil, d’attention et de respect portés à chacun tant dans les relations que dans les soins, qu’au niveau de la qualité de vie.

La personne âgée est avant tout une personne qui, en tant que telle, a droit au respect de son individualité et de sa dignité.

Les personnes accueillies sont là pour vivre une période de leur existence. La vieillesse étant considérée comme une étape de la vie avant d’être un problème à résoudre ou à combattre.

Chaque personne, riche de son passé, est prise en compte dans toute sa dimension sociale. Il est fait en sorte, autant que peuvent le permettre les maladies qui affectent la personne d’une part, et les impératifs d’une collectivité d’autre part, de remettre chacun dans sa place sociale, de maintenir ses liens sociaux, de préserver sa dignité.

Dans tous les cas, il est visé le maintien des capacités de chaque personne : une recherche constante en équipe doit permettre l’équilibre et tenir l’attitude la plus juste entre solliciter et protéger. L’objectif n’est pas d’annihiler une déficience mais bien de repérer les capacités restantes et les dynamiser. La prise de risque inhérente à la vie, suppose une conscience éclairée des professionnels, la volonté du résidant et une sensibilisation de la famille.